Comme je te comprends!  Le problème, c'est que ce monde là fait partie du monde et que la transmission de leur pouvoir est devenu  presque génétique. J'en arrive à penser qu'ils sont nés comme cela et qu'ils le seront jusqu'à leur mort! Et de conclure pour une majorité d'entre eux: "On nait con et on meurt con" car c'est comme certaines maladies incurables, il n'y a pas de vaccin.

Le sujet mérite d'être développé, dommage, je suis obligé de m'arrêté, car nous sommes en alerte rouge, et je suis sur onduleur. Le cyclone Gamède est à 250km de nos côtes et il va nous toucher en fin de nuit(24 02 07). (tape son nom sur internet, et tu verras la bête) à bientôt ImpasseSud

Pierre, je viens de faire un tour ici et il semble que Gamède tende à s'éloigner de vos côtes. Tu dois pousser un soupir de soulagement. J'espère cependant que vous avez quand même eu droit à la pluie qui vous manque cet hiver et sans dégâts.

Pour en revenir au sujet de mon billet : En ce qui concerne cette majorité, « cons », je ne le crois pas, mais imbus de leurs personnes et dévorés par la soif du pouvoir avec tout l'aveuglement qui en découlent, « malades » même, comme des drogués. Et ici, bien entendu, j'exclus les flibustiers, les arrivistes et les voleurs. Il y a des dizaines d'années qu'on retrouve les mêmes personnes aux postes clefs, et je pense que désormais ils sont complètement déconnectés de la réalité, un monde à part qui ne vit que pour soi et qu'entre soi et soi, entre riches et très riches, sans plus aucun savoir de base : « Le peuple manque de pain ? Distribuez donc des brioches ! » aurait, paraît-il, dit Marie-Antoinette quand le peuple de Paris a marché sur Versaille en 1789. Cette petite phrase que je ne connaissais pas avant d'arriver ici dit bien ce qu'elle veut dire, et ici, on la répète sans arrêt. Au Parlement, il n'y a pratiquement que des riches qui l'étaient déjà avant d'y arriver, même ceux de l'extrême-gauche, et dans la tête, ils n'ont, au mieux, que des idéaux théoriques déphasés qui n'ont plus aucun rapport avec la réalité actuelle, ce qui fait que toutes les décisions qu'ils prennent sont à côté de la question ou des problèmes et empirent même la situation.
La preuve qu'il est impossible de se débarrasser de cette maudite pérénnité, c'est que Napolitano (le Président de la République), vient de reconfirmer Prodi dans ses fonctions, après que lui et son étroite clique aient marchandé quelques voix ici et là pour le vote de confiance au Sénat qui aura lieu mercredi prochain.
Pierre, rien que de parler de tout cela, j'ai la nausée ! :(