Il y a quelques années, dans la ville où j’habite, pour chaque immeuble on a distribué un ou plusieurs conteneurs bleus pour la récolte du plastique. Ramassés et vidés tous les samedis, le mardi suivant ils sont cependant déjà pleins. Ma famille (pour l’instant nous sommes trois) y jette au moins un grand sac tous les trois ou quatre jours (précisons que l'eau du robinet n'est pas toujours buvable), et cela me choque à chaque fois. J'ai même carrément froid dans le dos quand je repense à la soupe de déchets diluée dans nos mers et océans. Comment est-il possible que moi-même j'aie tant de plastique à jeter, alors que, par goût, je donne plus volontiers la préférence au carton, au papier, au verre, à la faïence, au métal ? C’est la raison pour laquelle …
… je suis intriguée par la gageure que Chris Jeavans, journaliste de
Pourquoi ne pas essayer d'en faire autant, ne serait-ce que pour prendre conscience de l'ampleur de notre dépendance... du plastique ?
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